vendredi 5 juillet 2013

Lorsque gémit le Copé le soir au fond des bois

Ces politiques lamentables ne manquent tout de même pas d'air et d'aplomb ! Alors qu'il était clair à tous que Sarkozy piochait allègrement dans les subsides de l'état et de sa fonction de Président de la République Française, Monsieur le Président faisait mine de pas grand chose ! Il usait et abusait des fonds de l'État dans le but unique de sa promotion personnelle, pour sa campagne présidentielle. 

Non contant de nous avoir mis dans des situations insoutenables de chômage, de charges et de précarité durant 5 longues années, il usait abusivement de ses frais de représentation pour faire campagne. Mais pire est qu’aujourd’hui ces gens de mal viennent sans vergogne pleurer misère auprès du bon peuple qu'il ont bafoué, spolié et mis plus bas que terre durant un quinquennat entier sans hésitation ni regret faisant la part belle au patronat contre la plèbe ouvrière et des petites gens.

"J'appelle les sympathisantes et les sympathisants qui chaque jour s'engagent plus nombreux à nos côtés.


J'appelle aussi les Françaises et les Français qui ne partagent pas forcément toutes nos idées, mais qui considèrent indispensable, vital même, vital, qu'un grand parti de droite et du centre s’attelle à préparer l'avenir des enfants de France, à répondre à la grande souscription nationale que je vais lancer dès lundi afin de barrer la route à celles et ceux qui ne rêvent que d'une chose : voir l'espace politique français monopolisé par la gauche et par les partis extrémistes."

Ils nous ont saignés et maintenant il faudrait sauver ce parti, celui des patrons, celui de l'argent, celui du pouvoir de l'argent, celui des influences ! "Par pitié ! Secourez-nous !" Et ils n'y vont pas par quatre chemins ! Après avoir usé d'argent qui ne leur appartenait pas, ils reviennent à la charge pour une double peine à la clef ! Ces messieurs de droite et de l'UMP ne reculent devant rien. Au premier passage on pique, au second, on ratisse !


"Donnez, donnez-nous" ! Ainsi que le chantait si bien Enrico Macias !

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